Colique néphrétique : l'été à risque

Douleur soudaine et lancinante sur le côté ou dans la région lombaire, qui irradie jusqu'à l'aine, associée à des spasmes musculaires. Les coliques néphrétiques représentent environ 5% de toutes les causes d'accès aux urgences, mais heureusement le temps de disparition de la douleur peut être très rapide aujourd'hui, avec un traitement médicamenteux adapté.

Diclofénac : la douleur disparaît plus rapidement

Une étude récemment publiée dans la prestigieuse revue "The Lancet", menée sur 1 644 patients, montre que le diclofénac est l'option thérapeutique la plus efficace, rapide et sûre pour gérer les urgences chez les patients souffrant de colique néphrétique.
Ce médicament anti-inflammatoire non stéroïdien (AINS) garantit en effet une réduction significative de la douleur en un temps plus court, avec moins d'effets secondaires et avec une efficacité analgésique supérieure.
Dans les 30 premières minutes suivant l'administration de diclofénac par voie intramusculaire, l'intensité de la douleur a déjà diminué de 50 % chez une grande majorité des patients, et dans seulement 10 % des cas, il est nécessaire de recourir à un traitement supplémentaire au bout d'une heure. Pratiquement zéro (1%) l'incidence des effets indésirables à l'utilisation du médicament.
Dans la perspective précisément de l'été et des vacances, les nouvelles formulations de diclofénac injectable sous la peau grâce à des molécules biotechnologiques de dernière génération, et disponibles en dosages réduits, sont entre autres particulièrement adaptées à l'auto-administration en situation d'urgence, comme celles qui pourrait être un exemple de contrôle dans des pays étrangers dotés d'installations de santé inadéquates. Bien entendu, l'utilisation "autonome" d'un médicament doit toujours être réalisée après consultation d'un médecin.

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Régime et conseils

Une concentration urinaire excessive est le principal facteur de risque de formation de calculs rénaux, car dans cette situation les particules de sels minéraux, notamment d'oxalate de calcium, ont tendance à précipiter en formant des agglomérats qui se transforment alors en véritables calculs et possèdent, ou de petits cailloux de taille variable, qui peut même atteindre quelques cm de diamètre. S'il n'est pas possible de les expulser par la miction, il faudra les écraser avec un traitement par ondes de choc appelé lithotritie extracorporelle.
Le seul moyen de maintenir une concentration urinaire basse est de boire beaucoup dans la journée (au moins 2 litres d'eau), surtout par temps chaud et même avant de se coucher, pour contrer le pic nocturne de concentration urinaire.

D'autres conseils de prévention concernent la consommation de sel de table, qui doit être limitée, ainsi que les boissons gazeuses, les conserves et celles riches en protéines comme la viande, les fromages affinés et les charcuteries, car elles contiennent de l'acide urique et de l'oxalate. En revanche, les aliments riches en calcium semblent sans rapport avec la formation de calculs, ce qui diminuerait en réalité le risque en favorisant l'excrétion d'acide oxalique.
Ces règles alimentaires n'ont naturellement pas d'effet immédiat, mais doivent être appliquées durant l'hiver pour éviter tout problème durant l'été.

Pour en savoir plus : voir la spéciale colique néphrétique sur doloreacuto.it

Par Il Portale della Salute

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