Divorce court : le premier oui

Quelques inquiétudes avant le vote, comme les amendements présentés par Lega et Radicali. Le premier voulait supprimer la proposition, tandis que le second voulait raccourcir encore plus le délai de séparation définitive du couple.

La législation italienne, issue des années 1970, est aujourd'hui l'une des plus restrictives d'Europe : en Suède le divorce par consensus est immédiat, en Espagne il est prononcé dans les deux mois, en France entre trois et six mois, en Grande-Bretagne dans les six mois et en Allemagne, cela commence après un an de séparation.

La loi italienne actuellement en vigueur prévoit plutôt deux peines et une période de séparation de trois ans, conçue à l'origine comme une période de réflexion, qui s'allonge souvent en raison des pratiques bureaucratiques, des audiences et de la lenteur des délais de justice. Déjà en 2003, le DS avait présenté une proposition visant à réduire plus rapidement la durée minimale de séparation et de divorce mais, malgré les changements ultérieurs qui en ont limité la portée, elle a été rejetée par une « alliance transversale de catholiques de centre-droit et de centre-gauche.

La proposition actuelle, issue d'un accord entre PD et PDL, prévoit que le divorce peut être prononcé dans un délai d'un an en l'absence d'enfants ou s'ils sont majeurs, dans un délai de deux ans en présence d'enfants mineurs.


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